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Assurance de responsabilité professionnelle

Affiché le 22 mai 2015
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Priscilla Lebeau
Courtier en assurance de dommages chez la turquoise
Spécialisée en responsabilité professionnelle

L’erreur est humaine. C’est pourquoi même les cabinets de services financiers et leurs représentants ont l’obligation d’avoir une assurance pour leur responsabilité professionnelle, au même titre que les médecins, les avocats ou les comptables. Voilà le créneau dans lequel Priscilla Lebeau s’est spécialisée.

Dans le milieu de l’assurance de dommages, Priscilla Lebeau est l’exemple parfait d’une réorientation de carrière réussie! En effet, c’est après avoir évolué pendant une douzaine d’années dans le secteur de l’hôtellerie qu’elle a décidé, à l’aube de la trentaine, de réorienter complètement sa vie professionnelle.

« Je cherchais une profession plus stable, qui offrait une diversité intéressante et beaucoup d’opportunités de carrière. Or, en assurance de dommages, les possibilités sont illimitées. »

Après avoir assisté à une séance d’information sur les carrières en assurance de dommages, elle s’est aussitôt inscrite à l’AEC en assurance de dommages au Cégep régional de Lanaudière à Repentigny.

Il y a un an, elle entrait au service du cabinet la turquoise à Joliette, où elle est spécialisée en responsabilité professionnelle pour les représentants en services financiers. « Puisque le programme de responsabilité professionnelle des cabinets et représentants en services financiers est offert à travers le Canada, je détiens mon permis pour le Québec, l’Ontario et la Saskatchewan et les autres provinces suivront sous peu. »

« C’est un métier qui présente de multiples facettes : développement des affaires, analyse constante des besoins du client, mise à jour des produits existants, renouvellement des polices, etc. C’est non seulement diversifié, mais c’est aussi très gratifiant de bien conseiller les gens, de les sécuriser et de voir que mon travail est apprécié. » 

Priscilla est heureuse dans sa nouvelle carrière, mais elle n’en pense pas moins à l’avenir. « Pour le moment, j’acquiers de l’expérience et je veux en connaître le plus possible sur ma profession. Plus tard, j’aimerais bien faire de la formation en milieu de travail. »

Source : Cahier spécial sur les carrières en assurance de dommages publié dans La Presse, Le Soleil et La Presse+, octobre 2014.