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Les carrières en assurance de dommages : un monde de possibilités pour les universitaires!

Affiché le 7 décembre 2016

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Le 4 novembre dernier, la Coalition participait au Forum de l’attractivité du Grand Montréal
organisé par
Montréal International. Pour l’occasion, les participants ont échangé sur des initiatives visant à soutenir l’attractivité et la compétitivité économique de la métropole québécoise. Durant l’événement, rehausser le taux de diplômés universitaires a clairement été identifié comme étant au cœur du développement de la richesse et de la croissance des secteurs de pointe. Soucieuse de cette réalité, la Coalition parcourt les universités depuis le début de l’année, dans le but de faire découvrir les carrières en assurance de dommages à ce bassin de candidats recherchés des employeurs.

Pour en discuter, l’équipe de rédaction de Prosdelassurance a échangé avec Alex Stringer, ambassadeur pour la Coalition qui visite régulièrement les universitaires pour les ouvrir à toutes les perspectives de carrière de l'industrie. « C’est un beau défi, car rares sont ceux qui pensent aux carrières en assurance de dommages », admet-il. Nous l’avons rencontré pour en savoir plus!

Une industrie diversifiée et en plein changement

« Les avenues sont nombreuses pour les étudiants des quelque cent programmes universitaires liés à la finance et aux assurances un peu partout au Québec. », observe M. Stringer. Selon Finance Montréal, le taux de placement des étudiants de ces programmes atteindrait 90 % dans les six mois suivant l’obtention du diplôme.

Lorsqu’on questionne Alex Stringer sur le caractère changeant de l’industrie, il l’attribue à la transformation numérique : « Les changements seront rapides et les entreprises devront s’adapter. Plusieurs nouveaux emplois seront créés; des emplois qui n’existent même pas à l’heure actuelle. C’est très stimulant pour la relève! », précise-t-il.

« Je veux les inspirer et leur faire découvrir ce domaine passionnant. L’assurance de dommages n’échappe pas à l’avènement du numérique et les universitaires qui sauront saisir les nouvelles occasions découlant des avancées technologiques seront destinés à un brillant avenir. Une expertise adaptée aux enjeux actuels sera extrêmement prisée par les neuf cents employeurs partout dans la province. »

Les perspectives d’emploi en assurance de dommages : un monde de possibilités

C’est littéralement un monde de possibilités qui se présente à la relève en assurance de dommages. Les perspectives d’emploi sont particulièrement variées pour les universitaires : partenaire d’affaires, analyste financier, gestionnaire de portefeuille, gestionnaire de risques, directeur des ventes… Voilà quelques-uns des nombreux postes pouvant être occupés.

Pour Alex Stringer, les perspectives vont même au-delà des postes à pourvoir : « Les types d’entreprises de l'industrie sont des plus diversifiés. Les universitaires pourront être salariés, travailleurs autonomes ou même intrapreneurs*. Ceux qui désirent prendre plus de risques pourront le faire. Aucun chemin n’est tracé d’avance! »

L’avancement et le perfectionnement

Pour s’assurer de pouvoir saisir toutes les possibilités d’avancement, Alex Stringer conseille de toujours continuer de se perfectionner, entre autres avec les formations de Professionnel d’Assurance Agréé (PAA) et de Fellow Professionnel d’Assurance Agréé (FPAA) : « Ces formations permettent de parfaire ses connaissances. Leur efficacité et leur valeur sont reconnues depuis longtemps par les employeurs! »

Merci à Alex Stringer, CRM, PAA et FPAA, président de L’Association de la relève en assurance du Québec (LARAQ) en Montérégie et administrateur au conseil d’administration de l’Institut d'assurance de dommages du Québec (IADQ), pour sa précieuse collaboration!

Quelques chiffres

40 256 $ : salaire moyen d’un détenteur d’un diplôme d’études collégiales¹

60 091 $ : salaire moyen d’un détenteur d’un baccalauréat¹

90 % en 6 mois : taux de placement des diplômés universitaires dans le domaine de la finance et des assurances¹

900 : nombre d’employeurs en assurance de dommages au Québec²

1 500 : nombre moyen de postes à pourvoir annuellement en assurance de dommages²

90 % : pourcentage d’employeurs en assurance de dommages à la recherche de main-d’oeuvre détenant un diplôme collégial ou universitaire³

8 000 $ : ce que gagne de plus en moyenne par année ceux qui possèdent le titre de PAA

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* Intrapreneur : Personne qui agit comme un entrepreneur, mais en travaillant au sein d’une organisation.

¹ Montréal International. La contribution des universités de la région de Montréal à l’économie du Québec, octobre 2016.

² Coalition. Les besoins et la qualité de main-d’œuvre dans l’industrie de l’assurance de dommages au Québec, mené par SCOR, 2013.

³ Coalition. Sondage auprès des employeurs concernant la formation des candidats embauchés et recherchés, janvier 2016.

 Le Conference Board of Canada. Le titre de Professionnel d’assurance agréé, août 2015.