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Charlotte Piché, courtier en assurance de dommages des particuliers — portrait d’une professionnelle passionnée

Affiché le 9 mai 2016
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Âgée d’à peine 20 ans, ambitieuse, extrêmement motivée et récipiendaire 2016 du prix Marcel-Tassé, volet spécialisé en assurance de dommages, Charlotte Piché est l’une de celle qui fera assurément parler d’elle. Fonçant tête baissée dans le monde de l’assurance, rien ne semble être en mesure de l’arrêter !

Fraîchement diplômée de l’attestation d’études collégiales (AEC) en assurance de dommages du Collège Montmorency, Charlotte fait actuellement ses armes dans le milieu de l’assurance à titre de courtier en assurance de dommages des particuliers au sein du cabinet de courtage Invessa Assurances et services financiers. Bien que nouvellement arrivée sur le marché du travail, elle se sent déjà en terrain connu.

« Très jeune, j’ai été initiée à ce monde grâce à ma mère, elle-même courtier en assurance de dommages depuis maintenant plus de vingt ans », admet Charlotte. « J’ai ainsi eu l’occasion de connaître toutes les facettes du métier avant même de pouvoir le pratiquer. À force d’entendre mille et une histoires sur le sujet, je traçais, sans m’en rendre compte, mon chemin de carrière. Il est rapidement devenu clair pour moi qu’il s’agissait de la profession que je voulais exercer plus tard. »

Son AEC au Collège Montmorency n’aura fait que confirmer qu’elle avait visé juste.

« J’ai adoré cette formation très technique, qui m’a permis d’entrer rapidement dans le cœur du sujet. J’ai été y chercher une expertise pointue en sinistre, mais également en comptabilité et en gestion. L’assurance de dommages est un domaine plus complexe qu’il n’y parait au premier coup d’œil et l’AEC m’a vraiment donné l’occasion d’ajouter plusieurs cordes à mon arc. »

C’est d’ailleurs armée de ces connaissances qu’elle évolue aujourd’hui dans le métier de ses rêves. Avec un peu plus d‘un an sur le marché du travail dans l’industrie, elle a déjà l’occasion de participer grandement au développement et à la croissance de l’entreprise pour laquelle elle travaille.

Le poste qu’elle occupe actuellement est celui de conseillère aux nouvelles affaires. Chaque jour, elle s’efforce de conseiller et d’offrir à ses clients (nouveaux ou anciens) les meilleures primes et garanties pour leur renouvellement de police afin de leur assurer la tranquillité d’esprit. Elle a également eu l’occasion de se familiariser en acquisition et rétention de clients, en plus de supporter à l’occasion l’équipe de service à la clientèle lors de périodes d’achalandage.

Et parce que l’expertise ne s’acquiert pas seulement sur les lieux de travail, Charlotte a profité de cette première année à titre de professionnelle en assurance de dommages pour s’engager dans deux chambres de commerce de la région où elle demeure.

« Pour moi, c’était l’occasion parfaite de me faire connaître, mais également de faire connaître et de promouvoir la profession de courtier que j’exerce. Je n’y voyais que des avantages, tant pour moi que pour ma profession », admet-elle.

Tous ces efforts et ce temps investis ont grandement payé. En effet, tout juste un an après son arrivée dans l’industrie, Charlotte a déjà commencé à se bâtir un bon réseau de connaissances qui n’hésitent pas à référer ses services à de potentiels clients. C’est d’ailleurs l’une de ses plus grandes fiertés.

Le futur s’annonce tout aussi mouvementé pour Charlotte, qui prévoit faire son stage en assurance de dommages des entreprises et ainsi obtenir sa certification de l’Autorité des marchés financiers avant l’été 2016. Elle rêve éventuellement de devenir courtier producteur. Elle planifie d’ailleurs faire son entrée dans le monde de l’assurance de dommages des entreprises à titre d’adjointe d’un courtier producteur et ainsi acquérir les connaissances nécessaires auprès d’un mentor.

Lorsqu’on lui demande où elle se voit dans plusieurs années, la réponse ne se fait pas attendre.

« Je rêve du jour où je possèderai mon propre cabinet de courtage », admet Charlotte. « Je sais que ça peut paraître très ambitieux, mais j’y crois réellement. Les seules limites dans la vie, ce sont celles que nous nous imposons. »

Nous n’aurions pas pu mieux dire !